effectivement, le registre BDSM connait une surenchère que ce soit dans l’industrire pornographique (avec toujours plus de violence ou d’ « inventivité ») que dans la sexualité postmoderne avec le développement d’une véritable « culture » BDSM (la simple visite d’un sex-shop et le large éventail proposé dans la section SM nous permet d’en faire le constat) : il y a visiblement là pour certains un « manque à combler » : serait-ce la nécessité de se sentir vivant ou simplement ressentir, au-delà de simples inclinations à la perversité ?