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En réponse à :


ddacoudre ddacoudre 3 décembre 2012 18:42

bonjour dugué
 Si je dis en cette fin du monde prévu pour le 32 12 12, nous serons sauvés, car le 32 n’existe pas,
tout le monde dira cela et mourons le premier du mois suivant.
çà a toujours été notre société et çà le sera toujours, l’existence ne se comptabilise pas même si sa comptabilisation sont des instruments structurant, il ne peuvent tenir de sens de l’existence dont tout ce que nous en disons et diront sera en pensé obscurantiste.
c’est à dire que nous serons toujours ignorant du résultat réel qu’engendre nos milliards d’actions, ne devant nous contenter du peu que nous pouvons comprendre en nous efforçant de nous le transmettre et jamais en totalité car sa transmission subit les bruits et les distorsions de la communication. Cette « imperfection » ou impossibilité nous assure un constant repositionnent par rapport aux savoirs et savoirs faire disponible qui se reporte le lendemain dans un temps T que nous ne maitrisons pas si ce n’est par le langage comme je le démontre dans mon introduction.
Ainsi ceux qui imposent leurs savoirs, en l’occurrence « la comptabilisation de l’existence » comme la pierre philosophale ou absolue de notre avenir, ignorant de la méconnaissance et sur de leurs savoirs qu’ils imposent, ils deviennent forcément des obscurantistes.
il n’y a donc pas plus de crise que de mutation ou d’évolution seulement une mue permanente ou un obscurantisme remplace un autre sans savoir qu’il devra un jour s’en défaire.
en 1999 j’écrivais ceci :

Il me paraît évident, et c’est là ma réponse, que nous ne couvrirons pas la planète de béton, de voitures, et de produits toxiques. Cela, à cause d’une mécanique qui nous échappe et par laquelle se manifestent toujours des êtres plus « intelligents » que d’autres, pour jalonner leur époque1. L’époque des scientifiques de toutes nations est proche, et ils ne resteront pas éternellement alarmistes (naturellement je ne pense pas à ceux qui suivent leur maître financier ou idéologique). Ce n’est pas là la marque du hasard, mais celle d’une espèce dont l événement culturel génère ses propres éléments devant concourir à son évolution, parce que toute cellule qui prolifère produit des déchets qui entraînent sa destruction, si elle ne reçoit rien de l’extérieur ou n’est pas capable de se transformer.

Comme tout événement, « le culturel », événement en soi, déterminera le sien, et à la richesse matérielle en succédera une autre. Il ne peut en être qu’ainsi en raison du deuxième principe de la thermodynamique appliqué à notre système. (Un système évolue de manière irréversible, quel que soit son état initial, quand il tend toujours vers le même état final unique, et fixe une direction d’évolution qui ne peut être inversée sans intervention extérieure au système. 



 : Nous nous dirigeons vers cela et les nouveaux penseurs ou prophètes nous les trouverons chez les scientifiques comme avant ils se trouvé chez les lettrés.

il y en a, pour reprendre ta comparaisons çà germe lentement, mais pour le moment nous vivons au rythmé de la mesure du capitalomètre, en attendant de vivre à celui de la mécanique quantique qui nous obligera à inventer des mots nouveaux pour qualifier les événements qui se déroulent sans être obligé de prendre ceux existant qui ne peuvent définir la réalité sans difficultés comme tu en fais la démonstration.

.http://ddacoudre.over-blog.com/pages/le-capitalometre-8441227.html

cordialement.







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