Bien sûr que les ouvriers ne veulent pas de l’arrêt des haut-fourneaux ! Que leur propose-t-on à la place ? Rien. Alors ils s’accrochent à ce qu’ils ont, c’est normal. Dommage que les grands cerveaux de nos dirigeants en France ne soient jamais traversés par cette évidence.
Tant que la France ne se sera pas dotée d’une politique industrielle, avec des axes à privilégier et des moyens derrière, elle sera condamnée à errer en pleine mer, sans cap et sans boussole.