cher ami Barratier,
Chez moi, pas de fond de commerce. A la retraite sur une grande propriété nous l’exploitons en maraîchage, à la sueur de notre front. Enseignant, je n’ai jamais proftté de personne.
Nous sommes en fin de civilisation. Si nous continuons de la sorte il n’y en aura pas une nouvelle.
Que Dieu me pardonne, de ressentir ainsi. Mais n’est-ce pas lui qui m’a laissé du bons sens ?
Bien à vous. J.D AUDON