Bonjour
Pris en sandwich entre leur volonté d’éradiquer les voitures des centres villes et celle de soutenir l’industrie automobile (j’habite dans une région où se trouve un site de production) ; les élus essaient de ménager la chèvre et le chou et ne décident pas, sauf à dépenser de l’argent pour des aménagements dissuasifs pour l’automobile et à parler d’argent mis au pot pour soutenir le reclassement des salariés victimes des plans sociaux dans l’industrie automobile.
C’est la politique du chien crevé au fil de l’eau.