Le mythe du « droit de cuissage » a été amplement démonté, déconstruit, historicisé. Notamment par l’immense historien des représentations qu’est Michel Pastoureau (« Le droit de cuissage. La fabrication d’un mythe », Albin Michel, 1995).
Mais il y aura toujours des gens pour s’accrocher désespérément aux légendes (roses ou noires) malgré toutes les preuves contraires. C’est sans doute un besoin psychologique. Comme il y aura toujours des niais pour ânonner que « au Moyen-Age, l’Eglise disait que les femmes d’avaient pas d’âme »… Contre toute évidence.