Bonsoir Jason,
l’extrait que je cite est le texte qui figure en quatrième de couverture de l’ouvrage cité.
Cela veut dire tout simplement que nous percevons l’autre (ce qu’il est, ce qu’il pense) au travers du prisme de notre propre vécu, de nos propres intentions, de nos propres travers, craintes, espoirs, etc. C’est pour cela que les psychanalystes doivent être eux-mêmes analysés parce que pour comprendre l’autre, il est impératif de se comprendre parfaitement soi-même.