« Qui trop embrasse mal étreint. » Le fil de votre article se perd dans des digressions qui font appel à une foule d’auteurs (que le lecteur a lus ou pas), quelques titres, des citations brouillonnes, bref, cela donne un salmigondis indigeste.
Vous vous perdez dans vos propres paradoxes. Pouvez parler en deux phrases de ce que vous voulez dire ?