A partir du moment où vous mettez en avant (à juste titre) le cognitif, le réduire à de l’algorithmique me semble assez peu conclusif au premier abord.
Car qui dit algorithme dit probabilité, dit mécanisme non réfléchi en soi, non ?
Quel est alors le changement fondamental par rapport à l’information par la biais du paradigme biochimique ?
En bref se dégage surtout ici une impression de surplace par rapport à l’enjeu général que pour le compte vous situez pourtant correctement.