Deneb,
Toujours aussi sectaire.
Vous ne lisez que ce qui vous intéresse apparemment.
On vous dit, que tout le monde est différent. Que tout le monde réagit avec son vécu et sa manière d’être, mais cela ne vous intéresse pas.
L’esprit, il n’y a pas plus différent de personne à personne.
« Faut-il brûler Freud ? » est-il demandé dans la presse. Dans son livre « Le Crépuscule d’une idole », Michel Onfray, qualifié de réfractaire, voulait remettre les théories de Freud à un plus juste niveau. D’abord réconforté à la lecture de « Trois essais sur la théorie sexuelle », suite à sa propre enfance, il appuyait l’idée que la sexualité existe déjà dans l’enfance. Athéiste militant convaincu, par opposition aux salésiens qui lui donnèrent une éducation trop grillagée derrière des préceptes religieux, Onfray réhabilite désormais les matérialistes, comme Spinoza ou Nietszche, contre les idéalistes, comme Platon.
Qualifié de taliban, manichéen par certains, il énonce que conscientiser le refoulement n’a jamais entrainé la disparition des symptômes, ni sa guérison. La thérapie analytique de la psychanalyse ne soignerait que dans la stricte limite de l’effet placebo. Le rapprochement de Freud comme un nouveau Pape, sous le modèle de l’Église catholique romaine avec sa métaphore est probablement, aussi, ce que cache la réaction allergique d’Onfray.
Le Pr Jacques Van Rillaer, à la tête d’une fronde antifreudienne, répète, également, que Freud a menti en lançant « Les Psychanalystes, des mythologies du XXème siècle ».