Un intellectuel africain avait publié un article sur agoravox (j’ai oublié le pseudo et l’article) dans lequel je lui faisais part de l’exemple Suisse. Sa réponse fut négative. A vrai dire, je n’en ai pas encore rencontré de positive.
Tant que les africains, à commencer par les intellectuels, resteront dans le déni de leur propre histoire, ils continuerons à se cogner la tête contre le mur. Avec toujours les mêmes victimes.