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En réponse à :


morice morice 25 janvier 2013 19:01

 Reste aussi à savoir si ces détails, de je ne sais quelle source vous les avez eus, sont vrais ou faux. `


ILS SONT TOUS SOURCÊS

TOUS MES EXTRAITS SONT EN LIEN : ils ont donc tous une SOURCE, vérifiable.

 Par ailleurs toutes vos réactions aux commenatires sont « moinssées » ce qui prouve encore que je ne suis pas le seul à ne pas âtre d’accord avec vous.


c’est différent : une meute de trolls vient me moinsser depuis très longtemps ici, ces gens qui ont été EXCLUS et viennent se venger.


RELISEZ mes textes, allez voir mes sources, elle sont toutes fiables.

alors épargnez-moi le « délire »,voulez-vous...

vous avez écrit ici :

Les algériens sont dégoutés de la politique par ce qu’ils se rendent de plus en plus compte que ce n’est pas les élections (législatives ou locales) qui vont apporter une amélioration certaine à leur train-train quotidien. Alors, ils s’en détournent. Tout simplement.

je vous en donne les raisons. 

 Au début des années 90, j’étais jeune chirurgien à l’hôpital Bouzidi Lakhadar de B.B.A. En accord avec le personnel médical et paramédical du service de chirurgie, je voulais procéder au changement du chef de bloc. J’avais alors proposé au directeur de l’hôpital un infirmier d’âge mur et qui jouissait d’une bonne réputation de sérieux er d’abnégation dans le travail. Le directeur le fit venir dans son bureau. Il ignorait tout de ce que je manigançais. Après le « salama aileikoum », il prit une chaise en face de nous (le directeur et moi). On le mit alors au parfum de ce que nous venions de décider. Il accepta sans rechigner d’autant plus qu’un logement de fonction au sein même de l’hôpital lui fut attribué. Mais, l’histoire ne s’arrête pas là. Le fin mot de l’histoire, c’est qu’au cours de la discussion, cet homme d’une bonté et d’une naïveté incroyable nous apprit qu’il était auparavant …maire d’un petit patelin à Bordj. Il se pliait en quatre pour satisfaire les citoyens dépendant de sa commune…avec les moyens du bord. Et à la fin de son mandat, il dut vendre le seul bien mobilier qu’il possédait (sa voiture) pour faire face à un….trou budgétaire dans les finances de son APC. 

je vous explique que pendant ce temps là, les généraux au pouvoir se goinfrent, et ça vous pouvez le vérifier tous les jours : vous passez devant leurs villas.

je partage donc la même vue que VOUS sur la société algérienne, dont on attend toujours le printemps... pas nécessairement islamiste.

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