Bernard, il me semble que vous vous égarez en passant par cette impasse sans grand intérêt.
Remettez-vous sur les bancs de l’école primaire, remémorez-vous - c’est mon expérience - ce choc de l’intégration des connaissances et des savoirs (l’époque de mon bac était celle de Watson et Crick) et les déconvenues de « La souris truquée », ce « tout est dans tout », l’angoisse au bord du gouffre de « Le hasard et de la nécessité ». Comment finalement vous êtes devenu un extra terrestre dont les préoccupations n’ont plus rien à voir avec même ce peu qu’on enseigne de la philosophie à ces futurs apprentis banquiers, commerciaux, marketeurs...
Ils ’s’en « battent l’oeil » et ne résistent pas à vous transformer, vous et vos idées, en putching ball...
Ce qui, dans le fond, a peut-être également à voir avec vos informations et savoirs « cent fois remis sur le métier » pour une connaissance d’une science qui « sans conscience n’est que ruine de l’âme »
Cette âme faite de bric et de broc qu’il faut passer au feu purificateur (? bon c’est pas mal mais c’est pas exactement ce que je voulais dire).