Non, Pierre Berger est un progressiste. Dans son « combat », il invoque l’égalité, la tolérance, l’amour dardant et les pâquerettes dans les champs, toutes choses qui fleurent bon le progrès et autres niaiseries. Frigide Barjot, elle, est populiste (ce qui ne veut pas dire que je l’adore !).
Libre à vous, bien sûr, de penser que nous sommes en présence d’une corruption de la démocratie. Libre à moi de penser que c’en est juste la dégénérescence programmée.