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franc 1er février 2013 15:16

J’ajoute que si le fait de donner la vie est un acte qui pour fin un bien intrinsèque la gestation pour autrui qui est un moyen pour arriver à cette fin est un acte intrinsèquement bon .Ce qui n’est pas le cas pour l’avortement par exemple qui est un acte intrinsèquement mauvais en ce qu’il supprime une vie ,je ne dis pas pour autant qu’il faille l’interdire parce que cela engendrera un mal plus grand avec le risque de complication à la mère qui avortera dans la clandestinité,et d’ailleurs le législateur a bien légalisé l’avortement qui est un acte qui porte des conséquences bien plus graves que le GPA qui au contraire donne la vie .Alors pourquoi légaliser l’avortement et pas le GPA .L’Eglise ne s’y était pas trompé en restant logique avec elle -même et a toujours considéré contre vents et marées l’avortement comme un meurtre ,un infanticide ;Donc je trouve un peu curieux sur le plan éthique et c’est un euphémisme, que ce qui accepte l’avortement qui est un acte intrinsèquement mauvais en ce qu’il donne la mort et condamne la gestation pour autrui qui est un acte intrinsèquement bon en ce qu’il donne la vie .

 

j’aurais vraiment un problème de conscience s ’il me fallait pratiquer un avortement ,je me dirais ,et si j’avais supprimé un génie en gestation qui pourrait peut-être inventer un moyen technique ou une théorie scientifique qui aurait apporté un bien ou un progrès immense à l’humanité ,par contre je n’en aurais pas de problème de conscience , et au contraire j ’en serais fier d’aider à donner une vie qui pourrait faire naitre un futur génie ;d’ailleur si j’étais une femme ,je prêterais mon utérus gratuitement par acte de solidarité privée ou sociale à une femme vraiment en détresse ou pour aider l’humanité à enfanter si celle-ci est en réel manque d’enfants,comme je suis prêt à donner gratuitemen mon sperme à qui le demande .Et Si en retour on me donne un bien qulconque comme de l’argent en remerciement ,je ne refuserais pas ,car abondance de bien ne nuit pas .

 

Il ne faut pas confondre et mettre sur le même plan la liberté des moeurs et la liberté économique ,celle-ci est de l’ordre des moyens alors que celle -là est de l’ordre des ,la liberté dans l’économie est au service de la liberté des moeurs et non inversement .Le marxisme ne condamne pas la liberté dans l’économie ,au contraire ,si cette liberté sert à la liberté des hommes ,selon le principe fondamental marxiste à savoir : à chacun selon ses besoins ,à chacun selon sa vocation ,et les besoins sont en eux-mêmes les raisons dernières de leur satisfaction"

Le libéralisme capitaliste au contraire soumet la liberté humaine au service de la liberté de l’économie et celle-ci au service de leurs propres libertés individuelles privés au détriment de toutes les autres libertés individuelles


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