Tout ce baratin pour nous dire que le bon syndicat, à vos yeux, c’est le syndicat « réformiste » à la CFDT (qui selon les mot délicieux de Susan George « si on rétablissait l’esclavage négocierait le poids des chaînes »)... Autrement dit, le syndicat qui considère que tout est négociable, et que son rôle se limite à accompagner pour les adoucir à la marge les reculs sociaux imposés par le patronat ! En tant que mercenaire du patronat, vous préférez logiquement ce type d’organisations, dont les dirigeants fréquentent les même cercles mondains que ceux des grandes entreprises du CAC40.