C’est plutot l’inverse : vu ce que coute l’éducation nationale à la collectivité, le compte n’y est pas.
Donc avant de remettre de l’argent dans le machin, avant que les enseignants ne demandent plus de solidarité de la part de francais, il serait bon de demander plus de solidarité de la part des enseignants envers les francais.
Quand j’étais au collège et que j’écoutais les infos, on parlait déjà des rythme scolaire et de l’exemple « allemand » qui alternait cours le matin et activité le soir.
C’était il y a 30 ans.
Et en 30 ans le machin n’a pas évolué d’un iota.
C’est bien continuez ainsi.