Pour faire plus court et mieux faire peut-être comprendre aux néophytes de la finance ce processus de Deauville, initié par la France de Sarkozy, rappelons le, est en quelque sorte d’empêcher « les printemps arabes » de fleurir et donc d’émanciper les peuples concernés en les endettant sans qu’ils s’en rendent compte, gavés qu’ils sont par un islam défloré essaimé sur eux par les vils faux frères que sont les roitelets de la péninsule arabique.