« Ainsi me voilà associé à l’affreux Johnny. »
Non. Mais cela m’avait amusé de rapprocher les deux avec mon esprit libidineux.
« L’art du subterfuge »
Comme je le disais quand il devient mijoté dans le temps, complexifié à souhait fait bien plus de dégâts. J’ai un jour, dû écrire un poème que vous allez trouver à la suite de
ceci
« Que serons nous dans 30 ans ? »
Bonne question, je vous remercie de l’avoir posée.
« Quant au film dans la maison, je dois vous avouer que j’ai trouvé fort médiocre le style du jeune homme. Pourquoi donc le professeur de lettre s’emballait-il pour ce récit ? Pour l’intrusion et le voyeurisme. Un peu quelque chose de Johnny ! »
Je n’ai pas vu le film. Cela fait longtemps que je ne vais plus au cinoche. Que je sais attendre de voir le film à la télé.
Comme je le disais dans l’article, je sens que le film « Vive la France » va m’émoustiller.