@Nicopol : « Pour un scientifique »pur et dur« , la question n’est pas de savoir si son modèle correspond à la »substance« du monde, mais seulement s’il permet d’expliquer et de prédire correctement des faits provenant de l’observation ou de l’expérience. En d’autre terme, la science traite des phénomènes, et non des noumènes. »
Je comprends ce que vous voulez dire, cependant...
Iriez-vous jusqu’à affirmer que l’homme de science trouve son contentement dans le fait d’expliquer et de prédire et qu’il ne lui importe nullement de comprendre « ce qui est » ?
Seconde question : lorsqu’un être humain est autant philosophe que scientifique, doit-il cloisonner ces deux activités et comment peut-il le faire ?