suite de réflexion sur les trous noirs qui nous parlent. Les trous noirs sont/seraient un condensé de matière. On aime ça ! on y perçoit l’espace-temps en ce qu’il finit par se rejondre et préviennent notre angoisse du vide.
Après tout (ce qu’on aura vécu) on veut bien finir dense, compact et plein de sens, mémoirisé, pourquoi pas ?
On perçoit bien le temps, on aborde assez facilement l’espace-temps, sa signification « mémorielle » ou « immémorielle » quasi structurelle (cortex cingulaire et amygdales, immatérialité des souvenirs « périphériques » « stratifiés » « empilés » « sériés » « paralellisés » « accessibilisés », tout ça concevable car sous enveloppe.
Mais qu’en est-il de l’espace ? (le vide, on peut le créer qui se résout, si on n’y prend garde : à rien du tout (histoire de contenant) mais jamais à moins que rien (vive Raymond Devos !)