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Ewen Marechal 20 février 2013 17:11

L’euro et l’union européenne sont entrain de tuer la Grèce. La misère entraîne la monté des extrêmes :

-A l’extrême droite, les neonazis
-A l’extrême gauche, les antifas

Les résultats des élections législatives anticipées de mai 2012 en grèce sont extrêmement
 intéressantes. De gauche à droite :

KKE : 8,6% (assimilable à l’extrême gauche en france, 
eurocritique)

SYRIZA : 17,33% (assimilable au FdG, eurocritique)
PASOK : 13,67% (assimilable au PS, européiste)
DIMAR : 6.33% (gauche démocrate
 européiste)
ND : 36% (assimilable a l’UMP, 
européiste)
Grecs Indépendants : 11% (assimilable au FN, 
eurocritique)
Aube dorée : 7% (les néonazis, 
eurocritique)


=> Aucun des partis 
eurocritique n’a la capacité de fédérer l’ensemble de la population => Ces partis sont en opposition en raison de leurs positionnement idéologique sur un axe droite-gauche
=>
Je pense que c’est fait exprès : en empêchant la majorité eurocritique de se réunir, cette division permet aux partis européistes de détenir une majorité de fait. Ces partis sont favorables au maintient de la Grèce dans l’UE et l’euro, et complices du désastre économique et social.

=> Si il y avait eu en Grèce un parti eurocritique, se plaçant au dessus des contingences gauche-droite, avec une ligne politique irréprochable, peut être que la situation aurait été tout à fait différente. A l’heure actuelle, la grèce pourrait être sortie de l’euro et de l’UE

Bref, il manquait à la Grèce ... l’UPR.


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