@ Yvan Bachaud
Je vous soutiens pleinement, car nos hommes politiques savent très bien ce qu’ils font. Le texte de l’article 11 est clair et il n’y a aucune ambiguïté sur les termes. La question que je me pose maintenant, c’est de savoir si la « faute » de grammaire de « Le Monde » est volontaire ou pas.
Mais n’y a-t-il vraiment aucune chance que la « force du nombre » fasse un jour plier les parlementaires pour qu’ils se retrouvent contraints de lancer cette initiative non pas « soutenus » par les citoyens mais poussés par eux ?