C’est bon d’avoir des cibles toutes prêtes, toutes
chaudes et à consommer sans modération comme, par exemple, Caroline FOUREST, Bernard-Henri
LEVY, etc….
Ça compense un déficit évident des ressources nécessaires à un débat et une discussion
réels et valables…
C’est ainsi que nous avons le style bien connu des gauchouillards(*) comme, par exemple, à propos de Caroline FOUREST : « …est probablement la seule journaleuse à
mentir ouvertement telle une indéfectible dernière ligne de défense
désespérée de la propagande officielle !... ». Et ceci sans la moindre
argumentation à l’appui comme, par
exemple, une simple démonstration, sujette évidemment à contradiction, de ce que
serait l’un de ces « mensonges »…
C’est la proverbiale et constante vacuité des gauchouillards(*), convaincus d’être profondément habités par une vérité
absolue, immuable, universelle et ne souffrant aucune contradiction…
Ce qui est vraiment désolant chez les gauchouillards(*)
c’est que, de par leur indécrottable sottardise, ils nous poussent
irrésistiblement dans les bras de ceux qu’ils lapident alors même que ceux-ci
ne sont peut-être pas exempts de défauts…
(*) Le gauchouillard est un mutant du franchouillard.
Il en reprend l’insuffisance mentale, l’étroitesse intellectuelle, l’esprit
borné et la haine du juif.
Il y ajoute la frustration, l’envie, la jalousie, la rancœur et l’amertume
vis-à-vis d’une aisance qu’il aimerait bien posséder mais qu’il est totalement
incapable d’acquérir par lui-même dès lors que l’appropriation de cette aisance
exige inventivité, créativité et productivité personnelles.
Néanmoins, il se considère comme un aryen de la pensée de gauche, un
dispensateur de vérités définitives et absolues jamais démontrées, un grand
ordonnateur de leçons de morale et de vertu seulement applicables aux autres.
Par son nihilisme et son négativisme, le gauchouillard suscite le totalitarisme
sous toutes ses formes en favorisant, notamment, les desseins les plus
conquérants du capitalisme.