Seulement, voilà il y a un bémol !
L’on se méfie des gens qui racontent bien les histoires, les romanciers, les humoristes qui vivent de leur plume ne sont pas du tout pris au sérieux.
Les parents interdisent à leurs enfants qu’ils racontent des histoires tant ils ont peur d’en faire des mythomanes ou pire des clowns sans avenir.
Et c’est bien dommage, car les enfants ont un don particulier qui leur vient d’on ne sait où, à inventer ou à réinventer un réel, pas à leur goût, à laisser leur imaginaire vagabonder, libre comme un oiseau sans port d’ attache, il s’ensuit des histoires sans tête ni queue que redoutent les parents.