L’agité a eu, avec DADVSI, la conscience aiguë de ce que la classe politique ne travaille pas dans le sens des intérêts du citoyen mais pour des groupements financiers.
Alors oui, l’agité, affolé de son impuissance à corriger un futur qu’il pressent désastreux pour sa descendance, n’hésite plus à avoir des mots excessifs, en attendant que l’occasion lui soit donnée de passer aux gestes excessifs.