Formidable bilan.
Le financement Vénézuelien de partis politiques et de gouvernements d’extrême gauche porte semble t-il ses fruits.
Le Venezuela souffre d’une pénurie chronique d’électricité et de produits de base.
Ses routes, ponts et autres infrastructures sont littéralement en train de s’effondrer après des années de négligence, alors que les capacités agricoles et industrielles du pays ont été décimées par des nationalisations et expropriations répétées.
Le pays importe actuellement 70% de sa nourriture, tandis que le pétrole représente 95% de ses recettes d’exportation.
La monnaie a été dévaluée de 36% après une frénésie de dépenses du gouvernement qui a précédé l’élection présidentielle d’octobre dernier et laissé un déficit budgétaire impressionnant de 8,5% du PIB.
Et cela pourrait ne pas être suffisant : sur le marché noir, la monnaie se négocie au tiers de son nouveau cours officiel face au dollar.
Le social clientélisme, un peu comme en France on laisse les générations suivantes le payer.