J’ai toujours été frappé par des expressions comme : faites-moi confiance, c’est une question de confiance, comment, vous ne me faites pas confiance ?
Or, la confiance ne se donne pas à n’importe qui, pour n’importe quelle raison. Elle se mérite et celui qui la demande doit prouver qu’il en est digne.
Paradoxe : celui ou celle qui ne fait pas confiance est rejeté parmi les sceptiques ou les indécis. Et dans le doute, beaucoup suivent le troupeau.
Le hasard fait bien les choses, dit-on. Alors faisons confiance au hasard, et quand les choses tournent mal on accuse souvent le destin.
Entre temps, j’attends le printemps. Faut-il avoir confiance ?
P.S. la confiance peut être quantifiée (confidence level en anglais), les statistiques sont là pour ça.