Nous sommes bien partis pour apprendre
à nos dépens, après les Grecs et les Chypriotes, que la politique
n’est pas un exercice irresponsable et que les élus d’un Etat
représentent leurs électeurs, lesquels sont de ce fait engagés par
les décisions - mauvaises comme bonnes - de ceux qu’ils se sont
donnés pour chefs.
Après que Chypre, comme la Grèce et quelques
autres nations aient géré avec démagogie, insouciance et aux dépens
des autres, il faut assumer.
Normal, non ?
De quoi en tout cas
rendre plus prudent au moment des choix, car ce n’est qu’un début.
Nous en verrons d’autres !