Dans les services de soins palliatifs, ils ont des solutions. Par exemple Haldol, aujourd’hui autorisé légalement uniquement en psychiatrie, en intramusculaire, en cas d’urgence ponctuel, seul usage confirmé par le labo, est pourtant utilisé en soins palliatifs, en intraveineuses prolongée. Le malade est immobilisé sous Haldol, et l’arrêt cardiaque arrive lentement, naturellement comme effet secondaire connu, après quelques semaines ou mois d’injection continue.