« Une société libérale s’arrange généralement pour »etre jugée sur ses ennemis plutot que sur ses résultats« .C’est, par conséquent ,toujours un drame pour »idéologique« pour elle ,que de voir disparaitre ,avec le temps ,telle ou telle figure du »mal absolu« .Et comme la place du » pire « ne doit jamais rester vide très longtemps ,la propagande libérale se trouve dans l’obligation perpétuelle d’en découvrir de nouvelles incarnations ,au besoin ,cela va sans dire ,en les fabriquant de toutes pieces » .
Michéa ,citant Debord ...
Dindons nous sommes,dindons parfois ils le sont ...