« Le bien public doit il se faire en réduisant une minorité au désespoir ». Vous n’y êtes pas du tout !
Aujourd’hui, le bien privé se fait en réduisant une majorité au désespoir.
La complémentaire santé ! Depuis quand, la santé d’une population serait elle « complémentaire ». Vous raisonnez comme ces agents immobiliers qui ont proliféré...et qui se sont aperçu, un jour, que le gâteau n’était pas extensible.
Oui, puisque la « complémentaire » existe encore, il faut la généraliser et la confier à un minimum d’acteurs. Oui, cette prolifération de « prestataires » doit cessée. Oui, la disparition de ces « vendeurs » pourra permettre de réduire, pour ceux qui en ont les moyens, le prix de cette complémentaire...
En attendant que l’état (nous) se rende compte des problèmes de santé des populations et décide de reprendre les choses en main. Oui, l’ANI et toutes ses clauses est une bonne nouvelle. La lutte CONTRE (les) états et la dérégulation profitant à « certains », on voit depuis longtemps ou ça mène.