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Raymond SAMUEL paconform 6 avril 2013 15:23

Rien de plus fulgurant pour être déconsidéré, jeté, injurié, calomnié, insulté et j’en passe...
que de citer les dégâts sociaux dus au féminisme. C’est le tabou le plus monumental jamais vu !

Je me bats pour les femmes qui ne sont pas féministes, et pour tous les enfants, bien sûr.

Je copie-colle l’un de mes billets ci-dessous, et aussi l’un des commentaires de lectrice :

ENFANTS MIS EN COLLECTIVITE TROP PRECOCEMENT.



DECLARATION EMANANT D’UNE INSTITUTRICE DE PETITE SECTION D’ECOLE MATERNELLE  EN REPONSE A LA QUESTION SUIVANTE :


- « Ne pensez-vous pas que l’école est trop fatigante pour ces si jeunes enfants ? » :


- « Non, ça ne m’inquiète pas. C’est comme ça. Oui, c’est fatigant, pour eux et pour moi, mais c’est comme ça. D’ailleurs ils savent très bien quand ils sont trop fatigués, ils deviennent malades, comme ça ils se reposent. C’est comme ça ; et personne ne veut que ça change. Les femmes ne retourneront pas à la maison. »


PAR AILLEURS, ET EN CONFIRMATION, JE RELEVE LES MESSAGES DE MERES REPONDANT SUR DES FORUMS INTERNET A DES APPELS D’AUTRES MERES DONT LES ENFANTS REFUSENT L’ECOLE MATERNELLE (CE QUI EST D’AILLEURS PRESENTE COMME ETANT UNE ANOMALIE).


Ces mères qui répondent croient toutes connaître la raison de ce refus de la scolarisation : elles supposent d’emblée que ces enfants n’ont pas été mis assez tôt à la crèche (ou à un autre mode de garde similaire), Il est entendu pour elles que c’est une erreur fondamentale de ne pas les avoir HABITUES à vivre en collectivité.


Force est de constater que ces réponses ne suscitent aucune opposition.


MENSONGE ET IMPOSTURE.


Ces parents n’ont pas délibérément trahi leurs enfants, ils n’ont été que complaisants auprès des informations diffusées à leur intention.

Ces informations, qui émanent le plus souvent de professionnels spécialistes de l’enfance sont majoritairement mensongères, soit dans ce qu’elles prétendent, soit par omission.

Elles sont une imposture quand elles ont pour intention (cachée) non de favoriser la bonne santé des enfants mais de justifier et servir les intérêts personnels des parents. Pratiquer l’imposture ne gêne pas ces spécialistes de l’enfance (associés aux journalistes de la presse féminine) dans la mesure où le mensonge et l’imposture servent la « libération » de la femme dans le cadre de l’idéologie féministe..


Les vétérinaires ne sont pas contredits lorsqu’ils signalent qu’au moins deux fois sur trois, les animaux qui présentent des difficultés de comportement sont ceux qui ont été séparés trop précocement de leur mère.

Par contre, lorsqu’il s’agit des humains la même affirmation suscite des réactions qui vont du silence poli mais glacé à l’indignation virulente. « Nous ne sommes pas des chiots » dira-t-on notamment. Car la vérité défendue bec et ongles c’est que la mise en collectivité très précoce est indispensable pour socialiser les nourrissons et jeunes enfants. Pour bétonne r définitivement la formule, les « spécialistes » ont ajouté que les enfants qui n’auraient pas été habitués à la crèche seraient en difficulté à l’école maternelle et que ceux qui auraient échappé à la maternelle seraient moins bons que les autres à la grande école. Efficacité garantie !


La situation matérielle des parents (imposée par la surconsommation et la vie chère) associée à la désinformation organisée par le féminisme (qui s’est appliqué à déresponsabiliser ces parent), font un barrage très efficace à la reconnaissance des besoins des enfants. Les atteintes au psychisme infligés pendant la petite enfance sont niées.

Pourtant, nombreux sont les malades ou les handicapés de tous niveaux parmi les adultes que ces enfants deviennent.


Ainsi, les atteintes à la santé psychique (et physique par répercussion) plombent de plus en plus la société. Quand les adultes bien portants mentalement, affectivement et physiquement ne seront plus qu’une minorité il sera définitivement trop tard pour rétablir la situation.



05.11.2011

R.SAMUEL

ENFANTS MIS EN COLLECTIVITE TROP PRECOCEMENT.



DECLARATION EMANANT D’UNE INSTITUTRICE DE PETITE SECTION D’ECOLE MATERNELLE  EN REPONSE A LA QUESTION SUIVANTE :


- « Ne pensez-vous pas que l’école est trop fatigante pour ces si jeunes enfants ? » :


- « Non, ça ne m’inquiète pas. C’est comme ça. Oui, c’est fatigant, pour eux et pour moi, mais c’est comme ça. D’ailleurs ils savent très bien quand ils sont trop fatigués, ils deviennent malades, comme ça ils se reposent. C’est comme ça ; et personne ne veut que ça change. Les femmes ne retourneront pas à la maison. »


PAR AILLEURS, ET EN CONFIRMATION, JE RELEVE LES MESSAGES DE MERES REPONDANT SUR DES FORUMS INTERNET A DES APPELS D’AUTRES MERES DONT LES ENFANTS REFUSENT L’ECOLE MATERNELLE (CE QUI EST D’AILLEURS PRESENTE COMME ETANT UNE ANOMALIE).


Ces mères qui répondent croient toutes connaître la raison de ce refus de la scolarisation : elles supposent d’emblée que ces enfants n’ont pas été mis assez tôt à la crèche (ou à un autre mode de garde similaire), Il est entendu pour elles que c’est une erreur fondamentale de ne pas les avoir HABITUES à vivre en collectivité.


Force est de constater que ces réponses ne suscitent aucune opposition.


MENSONGE ET IMPOSTURE.


Ces parents n’ont pas délibérément trahi leurs enfants, ils n’ont été que complaisants auprès des informations diffusées à leur intention.

Ces informations, qui émanent le plus souvent de professionnels spécialistes de l’enfance sont majoritairement mensongères, soit dans ce qu’elles prétendent, soit par omission.

Elles sont une imposture quand elles ont pour intention (cachée) non de favoriser la bonne santé des enfants mais de justifier et servir les intérêts personnels des parents. Pratiquer l’imposture ne gêne pas ces spécialistes de l’enfance (associés aux journalistes de la presse féminine) dans la mesure où le mensonge et l’imposture servent la « libération » de la femme dans le cadre de l’idéologie féministe..


Les vétérinaires ne sont pas contredits lorsqu’ils signalent qu’au moins deux fois sur trois, les animaux qui présentent des difficultés de comportement sont ceux qui ont été séparés trop précocement de leur mère.

Par contre, lorsqu’il s’agit des humains la même affirmation suscite des réactions qui vont du silence poli mais glacé à l’indignation virulente. « Nous ne sommes pas des chiots » dira-t-on notamment. Car la vérité défendue bec et ongles c’est que la mise en collectivité très précoce est indispensable pour socialiser les nourrissons et jeunes enfants. Pour bétonne r définitivement la formule, les « spécialistes » ont ajouté que les enfants qui n’auraient pas été habitués à la crèche seraient en difficulté à l’école maternelle et que ceux qui auraient échappé à la maternelle seraient moins bons que les autres à la grande école. Efficacité garantie !


La situation matérielle des parents (imposée par la surconsommation et la vie chère) associée à la désinformation organisée par le féminisme (qui s’est appliqué à déresponsabiliser ces parent), font un barrage très efficace à la reconnaissance des besoins des enfants. Les atteintes au psychisme infligés pendant la petite enfance sont niées.

Pourtant, nombreux sont les malades ou les handicapés de tous niveaux parmi les adultes que ces enfants deviennent.


Ainsi, les atteintes à la santé psychique (et physique par répercussion) plombent de plus en plus la société. Quand les adultes bien portants mentalement, affectivement et physiquement ne seront plus qu’une minorité il sera définitivement trop tard pour rétablir la situation.



05.11.2011

R.SAMUEL



Bonjour,

j’avais vu votre essai D’ABORD NE PAS NUIRE à la bibliothèque de St Laurent en Royans mais l’avais laissé de côté de peur d’un contenu trop moralisateur. Puis ce dimanche 24 mars vous m’avez donné le complément au précédent ouvrage. Je l’ai ouvert timidement et ne l’ai plus lâché jusqu’à aujourd’hui où je me suis procuré votre livre. J’en tremble encore de révolte. Quel écho à ma propre conviction depuis que j’ai eu mon premier enfant ! Depuis l’allaitement où j’ai tout entendu jusqu’à l’école où on pose son enfant d’à peine 3 ans un matin et où il faut trouver normal de ne rien savoir de ce qui se passe pour lui la journée !!! Sans parler de la déchirante reprise du travail où j’ai fait fi de l’adaptation préconisée chez la nounou pour laisser mon enfant seulement au dernier moment ; où nous nous sommes trouvés dans l’incapacité , mon mari et moi, de donner un biberon à un bébé hurlant...

Je suis mère de 3 enfants. Je pensais qu’élever un enfant c’était tout lui apprendre...Elever un enfant c’est tout apprendre. Merci de mettre en écrit votre sentiment de père. D’encourager les mères à écouter leurs sentiments. Merci de me déculpabiliser d’avoir choisi de rester à la maison pour m’occuper de mes enfants. Demain je reprends le travail (je suis infirmière) après 7 ans de travail à temps partiel et de congé parental. J’ai le sentiment de laisser mes enfants et je choisis de passer le relai à une grand-mère dévouée. Je pensais l’accepter sans problème mais en ce moment je pleure.

J’espère ne pas avoir été trop confuse.

Merci pour votre force de résistance.


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