Mon idée va au-delà de l’idée des emplois francs (embauches subventionnées de jeunes de quartiers sensibles).
Exemple : un jeune trouve un emploi hors de sa cité mais il lui faut un véhicule. Il doit donc renoncer à cet emploi. Son capital lui permettra de s’acheter un véhicule d’occasion sans demander de prêt. Mais l’idée ne se résume pas aux emplois. Elle s’étend à un champ d’activités plus large.
Ce capital, c’est aussi un peu la carotte. Le jeune aura intérêt à se tenir à carreau pour l’obtenir à sa majorité. Sinon ce capital pourrait être réduit pour régler des dépenses de remises en état de biens qu’il aura détruits...