Tout porte à croire qu’au moments où tout se déclare en bourrse, l’idée nationale, chère à Mme LE PEN, et à priori sous jacente à M. SORAL dans ses retranchements phobiques extrêmes néo-fascistes qui ne concernent que sa maladie, l’idée nationale ne vaut plus un kopek.
Si révolution il y a, celle-ci ne sera en aucun cas ni nationaliste ni individualiste, et en aucun cas sectariste (excluant de facto certaines catégories de la population). Celle-ci sera collective. Elle fera donc appel aux idées les plus larges dont chacun est porteur.
C’est la raison pour laquelle le Communisme, même échoué aux larges du Goulag n’est pas une idée morte mais un idéal plus actuel que jamais, et en tout cas bien plus intéressant que la mise sous tutelle des individus sous le signe du dollar.
En attendant la Révolution à venir,