Le plus malheureux dans ces histoires de fonte de permafrost, c’est de considérer ces immenses réserves de gaz qui disparaissent et se volatilisent dans l’atmosphère.
Quel rêve de se retrouver en 2120 et de pouvoir relancer l’économie mondiale par l’exploitation des hydrates de méthane après l’épuisement des réserves de pétrole ! Mais nos descendants regretteront amèrement le gâchis que nous avons fait avec le permafrost et ce stock d’énergie bon marché. Pourront-ils nous le pardonner ?