Un autre morceau de l’article d’Alain Bancaud mérite également d’être rappelé, lorsqu’il évoque :
« ... la dimension politique de la sélection et la volonté de contrôle du Président [Mitterrand], déjà repérable dans le choix d’un nouveau Secrétaire général du CSM proche de lui-même et extérieur aux réseaux internes au corps. Choix, au demeurant, classique dans l’histoire du CSM. »