Prolonger la vie, réduire les souffrances. Si l’efficacité n’est pas gage de vérité, je privilégie l’efficacité. Entre mourir jeune dans les souffrances pour ne pas cautionner la méchante industrie pharmaceutique et vivre vieux confortablement en consommant des médocs, je choisis cette dernière option. Amputer les dérives mercantiles de l’industrie pharmaceutique à la science, c’est soit une incompréhension totale, soit une mauvaise foi rarement égalée.