Bonjour Olivier,
Article très instructif et qui sort de l’ordinaire. D’accord avec vous sur les ravages du trop plein de bruits « civilisés » sur les être vivants. Alors qu’il est impossible de fermer nos oreilles, nous sommes agressés en permanence par un déferlement de décibels, et donc toujours en alerte, comme l’a voulu la nature afin de nous avertir d’un danger et nous faire réagir. Mais trop d’alerte tue l’alerte !
Quand il y a trop de marteaux-piqueurs, de vrombissements, de sirènes, de musiques d’ambiance, de sonneries, le cerveau finit par stresser un peu, voire péter les plombs. Personnellement, je préfère de loin le gazouillis des oiseaux dans la forêt ou le coassement des crapaux dans la mare. Mon cerveau me dit que je ne risque rien avec eux, et je peux lâcher prise.