Le problème est ailleurs.
Quel que soit le crédit que certains lui accordent, la manière dont François Hollande mène sa propre vie et en particulier sa vie privée, et la relation dans laquelle il la situe par rapport à l’Etat et à ses concitoyens, dont il est l’émanation et la représentation, démontre qu’il est privé du minimum de sens civique nécessaire pour faire autre chose que servir une idéologie, des principes et des valeurs pensées et appliquées par d’autres.
En réalité, ce qui lui manque, autant que la fermeté, et le sens politique du fait de son sectarisme – et cela me paraît particulièrement grave là où il est – c’est la notion du bien public et et une forme de sensibilité qui se nomme intelligence.