Mais au moyen âge, qui a vu une prospérité incomparable, avec les cathédrales et bien d’autres merveilles, il faisait bien plus chaud qu’aujourd’hui.
Ça va , ça vient.
La grimpette des années 90 a été suivie du plateau actuel, et on peut raisonnablement penser que ce plateau sera suivi d’une chute de la pente.
Les années 40 ont été très froides : pourtant l’activité économique était faible, ce qui n’empêchait pas le taux de CO2 de grimper.
Il faut vraiment dissocier ces deux phénomènes, faiblement corrélés.
On ne les a associés que pour inventer la première taxe mondiale, ce qui n’est qu’une première marche dans un projet de bien plus grande envergure.