C’était avant tout pour faire rimer avec « dans mon cœur ».
Je ne voudrais surtout pas méprendre les lecteurs, l’électeur,
quand à ma vision de notre actuel président.
Seulement, la haine attise la haine, les vilains mots attisent les vrais maux déjà trop présent dans nos coeurs.
Il fut élu, il le restera, sauf si la rue, le chassera.
Mais comment accepter cette injustice, au vue de la patiente dont NOUS avons fait preuve, face à l’ancien président, attendant sagement qu’on lui ôte la couronne,
par la voie des urnes ?
Avait-il réellement, et à ce point muselé la rue ?
Ferions-nous preuve d’impatience aujourd’hui ?
Pensions-nous vraiment que François changerait quoique cela soit ?
Oublierions-nous, qu’en politique, le mensonge est un tic ?