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J’ai bien fait de lire jusqu’à la fin parce que
« ..peuple juif .. peuplades indigènes .. qui ont fini par développer une identité ethnique
que l’on peut qualifier d’israélite .. » avec ça on est censé tenir quelque chose ?
On dirait un pétard qui part dans tous les sens, ça fuse, et rien ..
Sinon,
le texte c’est le texte, c’est votre texte, bon.
Mais l’image ? C’est votre choix, entre toutes les images ?
J’ai relu récemment l’histoire de France de Michelet, il ne s’agit que de guerres de possessions,
d’hommes qui se trucident pour prendre à l’autre, lui reprendre, lui céder, lui disputer non pas la terre,
mais le terrain, au sens de gagner du terrain, perdre du terrain, reprendre du terrain.
on peut relire cet article sous cet angle là, et voir qui sont les protagonistes, les belligérants.
Combattants au cimeterre, à la kalach, au lance-flamme, à la baïonnette, au missile : que ça gicle !
Je veux en venir par là à l’image qui illustre l’article, le choix de montrer la victime des victimes,
le sacrifice du plus innocent des innocents,
et la douleur d’un homme.
Mais de femme, point : à dégager, le féminin ! entre hommes on se trucide, entre hommes on pleure.