Exalter la
complexité du rapport entre taux d’intérêt, développement économique, maitrise
du déficit, équilibre marché actions-obligations etc. etc. prouve des connaissances
diversifiées mais la maitrise des différents facteurs doit être laissée a des
gens non seulement compétents mais aussi responsables.
Si Bernanke, Draghi,
etc. maintiennent un taux bas (presque nul) ce n’est pas par ignorance ou pour soutenir
une thèse académique originale capable de mériter un scoop, mais parce que c’est
ce qu’il convient, tous comptes faits, en ce moment difficile ; comme par hasard
cela convient sans doute aussi aux entreprises, aux familles endettées et donc
fragiles, à l’état (la France aura déjà beaucoup de mal à maintenir longtemps
encore un taux de financement publique anormalement bas par rapport à son
déficit annuel et à sa dette proche de 2000 milliards) . Ne convient certes
pas aux investisseurs en obligations et
en OAT …. mais est-ce cela important pour le Pays ?