Je peux témoigner de ce que mon fils, nourrisson au début des années 70, avait subi une parasynthèse (ou paracentèse ?) sans anesthésie, dans un hôpital parisien.
Le chirurgien m’avait demandé de lui tenir fermement la tête pendant l’opération, ce que j’avais fait. J’ai eu beaucoup de mal à soutenir cette épreuve : l’enfant voulait très fort bouger et je ne voulais pas lui faire de mal avec mes mains. Depuis, j’ai passé plus de 70 ans de ma vie à le regretter.