Eh bien voilà nous avons une sensibilité commune.
Une définition théorique certes mais qui s’élargit aujourd’hui.
Doctrine que Mussolini érigea en Italie en
système politique et qui est caractérisée par la toute puissance de
l’État (intervention de l’État dans l’économie, étatisation des
appareils idéologiques, développement de l’appareil répressif dominé par
la police politique, prépondérance de l’exécutif sur le législatif,
etc.) et par l’exaltation du nationalisme. Montée du fascisme. Le
fascisme d’aujourd’hui se voue tout entier à ce but bien matériel :
sauver l’État bourgeois de la faillite. Il est évident que ceux qui
poursuivent un tel objectif ne sauraient que s’entendre avec les
capitalistes et devenir leur instrument (Humanité,15 mai 1921, p. 3).La vertu secrète du fascisme à leurs yeux [des modérés], et même du nazisme, c’était de neutraliser les masses, de les rendre inoffensives (Mauriac, Nouv. Bloc-notes,1961, p. 254).
Par cet article je voulais dire que cet aspect du comportement humain a fait des petits
et que leur prospérité est illimitée.
D’un point de vue transactionnel, pour simplifier, compte-tenue des
composantes triangulaires parlantes en nous.
L’état enfant, l’émotion, la créativité, la sensibilité, etc
L’état parent, la règle, les traditions, les lois, etc...
L’état adulte, le recul, l’objectivation, l’autonomie de la pensée.
Ces trois composantes viennent à disparaitre dans un système binaire.
Certaines politiques et religions, les systèmes de consommation etc
représentent des autoritarismes qui excluent l’état du moi adulte,
les humains sont alors à la dérive, voués au suivisme moutonnier.
Content de vous connaitre mieux