C’est ce que je décris : autrefois on avait à coeur d’avoir des routes superbes sur laquelles on pouvait aller vite. Quelques années plus tard et quelques milliers de morts en plus, on change le fusil d’épaule en mettant des obstacles un peu partout pour casser la vitesse. La non réparation des voiries peut aussi procéder de cette logique.