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En réponse à :

Constant danslayreur 21 juin 2013 12:16

Au delà du préjugé négatif qu’a sur l’auteur une majorité d’intervenants, je ne lis pas vraiment de réponse.

La pénurie j’ai connu ça du temps où j’étais jeune et pas pour du papier hygiénique (ici tout le monde se lave le fondement), mais pour autrement plus vital : huile, sucre, blé, farine, beurre.

C’est simple, les hommes les plus puissants d’alors en Algérie, encore plus respectés que les Colonels (pas de généraux à l’époque de Boumediene), étaient les vendeurs/caissiers/préposés au nettoyage des supérettes étatiques les souk-el-fellah littéralement marché de l’agriculteur je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi ça s’appelait comme ça, puisque je n’y ai jamais aperçu la plus petite trace de tubercule ou de racine et encore moins de fruits.

C’était un cauchemar permanent et les pères de famille passaient leur temps à s’absenter du boulot pour se faire une queue après l’autre (files d’attente pour les dames comifaut) ou pour aller 300 km plus loin chez un vague cousin de connaissance qui aurait gardé un bidon d’huile à frire sous le manteau.

Sans parler du reste, trafics et détournements en tous genres, marché noir etc.

Ce com ne plaira pas mais bon, s’il est vrai qu’il y a des pénuries au Venezuela alors il est temps que les vénézuéliens trouvent des solutions et d’arrêter de tout mettre sur le dos de la vilaine Amérique du méchant capital et autres slogans avec il est vrai un fonds de vérité mais beaucoup de fantasmes aussi.

« Facile d’être communiste, millionnaire, vivant à Paris »

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