« Alors faisons preuve d’une extrême prudence ! »
Il me semble que le temps de la « prudence » est périmé depuis belle lurette. Demain ce sera le retour aux nationalismes, que ça plaise ou non et avec les excès qu’une reprise en main entraînera forcément, ou l’esclavage généralisé de notre vieux continent au bénéfice d’une grosse poignée d’apatrides.
Ou bien on peut attendre encore et rêver au « soulèvement des prolétaires du monde entier »...
Entre être esclave d’un matérialisme ou d’un autre, entre être réduit à un « travailleur » ou un « consommateur », mon choix est fait : il est ailleurs.