Cette appréciation de l’Afrique me semble un peu datée tout de même. Un continent de plus d’un milliard d’habitants n’est plus le même que celui qu’avait connu Hugo de son vivant (enfin connu ?... de façon livresque, car Hugo n’a sans doute jamais mis les pieds en Afrique). Ce discours me fait étrangement pensé à celui de Sarkozy-Guaino en 2007 : pas mal de paternalisme, pas mal d’ignorance et une bonne dose de racisme.
Je ne sais si j’ai tord d’être optimiste, mais en tout cas je connais le continent africain, et la connaissance de l’histoire (passée comme récente) n’empêche pas l’espoir. Prophétie auto-réalisatrice ?